M’a emmené de Beauvais à Lisbonne – où j’ai effectivement fait bonne lecture puisque 10h45 d’attente – avant de prendre un vol claque, heu TAP, agréablement agrémenté d’une paella sans moules mais avec de la sauce salade. L’hôtesse était souriante, mon voisin polonais et tout le monde a applaudi lorsque nous avons atterri a Praia, capitale du Cap Vert sur l’ile de Santiago.
Après un passage devant des douaniers endormis, je me retrouve sur un ponton carburant rikiki a attendre l’équipage de TIDOM qui vient me chercher. La nuit est tiède, le vent doux, j’ai l’air con avec mes polaires.
(..)
Voilà quelques jours que je suis a bord de ce bateau sur lequel j’ai déjà traversé Gascogne il y a 9 mois. Je reprends vite mes marques (de bosses sur la tête, de bleus sur les orteils et de sourire jusqu’aux oreilles). Dans quelques jours nous lèverons l’ancre pour un cap au 250, direction la Guyane, l’antre des mygales géantes. En attendant on prépare le bateau, on le remplit d’eau, de vivres, de poussière. On peaufine les circuits électriques, on inventorie, on planifie et on prend des apéros. Quelques balades aussi, sur une île verte, bien que sèche. Plein de gens chouettes, qui n’essaient pas de vendre des girafes en fonte ou des ballons de volley en laine locale .. Il fait chaud nuit et jour, je reprends des couleurs et même un rhume à cause de l’alizé qui souffle en permanence, nous incitant à partir au plus vite.
Mais la femme du capitaine rentrant en France en avion dimanche, nous attendrons lundi .. La barre commence sérieusement à démanger.
Après un passage devant des douaniers endormis, je me retrouve sur un ponton carburant rikiki a attendre l’équipage de TIDOM qui vient me chercher. La nuit est tiède, le vent doux, j’ai l’air con avec mes polaires.
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Voilà quelques jours que je suis a bord de ce bateau sur lequel j’ai déjà traversé Gascogne il y a 9 mois. Je reprends vite mes marques (de bosses sur la tête, de bleus sur les orteils et de sourire jusqu’aux oreilles). Dans quelques jours nous lèverons l’ancre pour un cap au 250, direction la Guyane, l’antre des mygales géantes. En attendant on prépare le bateau, on le remplit d’eau, de vivres, de poussière. On peaufine les circuits électriques, on inventorie, on planifie et on prend des apéros. Quelques balades aussi, sur une île verte, bien que sèche. Plein de gens chouettes, qui n’essaient pas de vendre des girafes en fonte ou des ballons de volley en laine locale .. Il fait chaud nuit et jour, je reprends des couleurs et même un rhume à cause de l’alizé qui souffle en permanence, nous incitant à partir au plus vite.
Mais la femme du capitaine rentrant en France en avion dimanche, nous attendrons lundi .. La barre commence sérieusement à démanger.
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